Apprécier ce que l’on a : Mode d’emploi  

 Nous mesurons la valeur de ce que nous avons de précieux à deux occasions, lorsque nous le perdons et lorsque nous y sommes confronté à nouveau. 
C’est lorsque nous perdons quelqu’un ou quelque chose que l’on aimait bien que nous prenons toute conscience de combien cela comptait pour nous. Et, il suffit que nous soyons confrontés à nouveau à ce que nous n’avons plus pour réaliser combien cela manque à notre vie. 
Mais, on peut éviter des regrets, ouf ! 
On ne réalise pas assez l’importance de ce que nous avons dans notre vie la première fois ! 
Alors, on apprécie dès maintenant tout ce que nous avons et tout ce qui nous entoure en ayant conscience de leurs vraies valeurs ! 

Eh oui, finalement, le gazon du voisin n’est pas plus beau que chez les autres parce que nous prenons pleinement conscience des qualités du notre  ! 

Si nous sommes un peu perdus, avec nos appréciations :  on n’attend pas de les perdre ou qu’on nous les enleve pour réaliser ce qui nous tient à coeur. On ose prendre du recul avec nos habitudes, quelque temps ! Observer ce que l’on a et ce qui nous entoure avec distance permet de ressentir et retrouver ce qui est essentiel à notre équilibre de vie. 
Et à l’inverse… ?
Comment réagir lorsque nous sommes confrontés à une personne qui subit le syndrome de l’éternelle insatisfaction? 
 » Quand elle ne l’a pas, elle le veut ! 
Quand elle l’a, elle n’en veut plus ! 
Et quand elle ne l’a plus, elle le veut à nouveau !  » 
Rrrrrr !
Lancée dans une quête de l’inaccessible, elle ne sait plus  apprécier ce qu’elle a déjà. 

C’est simple, les tendances à se comporter comme des éternels insatisfaits ont besoin de défis. Dès lors qu’ils pensent que c’est devenu acquis, ils perdent le goût de la satisfaction. Le comportement à adopter est de les confronter au risque de la perte de ce qu’ils leur tient à coeur. Cela ne doit pas devenir une habitude mais être suffisamment persuasif pour déclencher  » l’électro-choc bienveillant  » nécessaire et ainsi leur prouver que rien de ce qu’ils possèdent ou qui les entourent, n’est acquis définitivement. Il faut donc qu’ils s’appliquent à préserver ce qu’ils ont d’essentiel. C’est un challenge pour eux ! Cela suffit à leur équilibre.   


On fait attention ! Quand l’éternelle insatisfaction est chronique, la personne souffre alors d’une pathologie liée à un manque de confiance en soi. Dans ce cas, rien ne la satisfait, elle se fixe toujours de nouveaux objectifs pour fuir sa réalité dont elle pense ne pas être à la hauteur ou ne pas la mériter. Elle ne recherche que l’impossible. Elle ne s’aime pas et n’apprécie jamais sa vie, elle change de direction ( travail, amour, décision, objectif, style de vie ) constamment. On ne parle plus de syndrome mais de maladie. C’est une thérapie qui sera apte à la guérir. Le coaching peut l’aider à lâcher-prise et l’accompagner pour retrouver le plaisir dans ce qu’il lui est essentiel. 
Conclusion : 
Avant de désirer ce que l’on a pas, 
On apprécie ce que l’on a deja ! 
Et, on se concentre sur ce qui est bon pour soi parce que ce n’est jamais acquis. 
Ainsi, nous n’avons pas le regret de perdre ou rater quelque chose car nous l’avons apprécié à sa juste valeur. YES ! 

LILIE 

Le vrai Amour  

Le véritable amour c’est celui qui nous fait nous aimer. ..



Méfiez-vous de ces faux amours qui vous poussent à devenir une autre personne  Le véritable amour c’est celui qui nous fait nous aimer.. Tel que nous sommes. 

C’est le conseil du jour… 

Et si nous pensions moins et ressentions plus ?

Nous pensons trop et nous ne ressentons pas assez. Charlie Chaplin 

Il y a ce que l’on pense et il y a ce que l’on ressent. Lorsque ils ne sont pas en harmonie, c’est que vous faites une erreur. Le combat ne doit pas se situer entre les deux. Ce qui est juste, c’est de suivre ce que vous ressentez…

Penser moins et ressentir plus ! 

C’est le conseil du jour.